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mardi 10 janvier 2012

Semaine du 09/01 au 16/01: "Orion"


Henry Vomit : Regolith
Ultra Golzgub : On vous reçoit 3 sur 5
Electroschmidt : Au travers des étoiles
 
The Guï : Orion a 18 ans et ça boome ! 
Harry Des : Ton Oriona
 
Samantha Madonna - Gerard Manset : La mort d'Orion
Torticolic : Septentus 18
 
Bafius : Betelgeuse ?
 


Tondeuse : la soupe à l'Orion
Nescio : Space running
 

Il y a bien longtemps, dans une galaxie très lointaine…
(du côté de la constellation d’Orion en fait), se déroulait la grande saga spatiale du marathon de la semaine :

Henry Vomit donne le ton et calme tout le monde d’entrée de jeu avec son Regolith, sorte de super robot-shériff de l’espace, pourfendeur du mal interplanétaire, qui fait passer Goldorak pour un tendre bouffon laxiste de troisième zone.
Ultra Golzgub, depuis son satellite lunaire, cherche à communiquer avec les extra-terrestres. Pour cela, il utilise un appareil très pratique qui convertit le morse en N.I.F.L (non identified flying language) sorte d’espéranto universel aléatoire qui ne trouvera sa version définitive que le jour où quelqu’un répondra.
Ce petit périple au travers des étoiles nous ramène finalement sur terre, avec Electroschmidt, dans une soirée plutôt bien arrosée. Mais après cette première plongée intersidérale, comment ne pas rester un brin détaché de ce pauvre quotidien terre à terre ? Comment ne pas garder la tête dans les hautes sphères de l’infini galactique ?
Peut-être en écoutant The Guï qui nous invite ici à réintégrer notre corps pour participer à la boum party d’Orion, qui fête la fin de son adolescence avec un brin de nostalgie.
Mais c’était sans compter le morceau d’Harry Des qui nous fait découvrir d’improbables constellations intérieures, sans bouger le cul de son canap, grâce au voyage astral méditatif express. Allez on repart dans l’espace ?
Pas tout de suite car Samantha Madonna nous rappelle subtilement qu’Orion est avant tout un géant aveugle de la mythologie grec, que tout le monde s’est empressé d’oublier tant les origines de sa naissance (l’urine d’un vieux garçon déversée sur une peau de bœuf boucanée) restent honteuses encore aujourd’hui.
Ça y est, on repart vers les étoiles à bord d’un charter low-cost avec Torticolic, au risque de se désintégrer dans un trou noir électronique au nom ridicule, pour atteindre bientôt Betelgeuse, le plus techno-communiste des astres de la ceinture d’Orion avec Bafius.
Arrivé à l’astroport, on prend une petite collation avec Tondeuse dans un bouiboui tenu par un robot old school qui nous tend une soupe en hoquetant, avant de mourir dans ce dernier râle propre aux androïdes ayant oublié de passer le contrôle technique.
Enfin, partant transplaner vers de nouvelles aventures, le petit nouveau Nescio nous propose de participer vite fait aux festivités locales : une course de space-dub sponsorisée par Nokia & Budweiser.

1 commentaire:

roland bafius-chanoine de la quintessence a dit…

toujours sans nouvelles de Pyjaman et De Rinchy, je lance un avis de recherche